« No pain, no gain ! » – Interview avec notre Jeune Talent Volkan Gokcimen

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©volkan.gokcimen

Par Dominic Zimmermann

Pourquoi nous faire confiance ?

Volkan Gokcimen fait partie de notre communauté de Jeunes Talents foodspring France. En 2017, il a été champion de France Jiu-jitsu brésilien. Il pratique également la lutte et le MMA¹. Sa vie d’athlète n’a pas toujours été facile, notamment à cause d’une grosse blessure qui l’a tenu éloigné du tatami pendant quatre longues années. Son histoire est tellement inspirante que nous avons voulu la partager avec toi ! Pour cela, rien de mieux qu’une présentation par Volkan lui-même.

Notre communauté foodspring France est un réseau de jeunes talents, d’athlètes professionnels et d’ambassadeurs qui nous inspire au quotidien. Tu veux en savoir plus ? Ça se passe par ici :

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Bonjour Volkan ! D’après ton parcours, tu as déjà essayé beaucoup de sports différents. Pourrais-tu nous dire quand et comment tu as commencé le sport ?

J’ai commencé le sport vers l’âge de 7-8 ans. On me provoquait souvent à l’école. Mon père m’a inscrit à un cours de karaté pour apprendre à me défendre.

Tu as déjà pratiqué plusieurs sports de combat différents. Quels sont les sports de combat que tu as déjà essayé ?

C’est vrai que j’ai essayé plusieurs sports de combat, je voulais vraiment trouver celui qui me correspondrait le plus. J’avais envie de m’engager, pas seulement de pratiquer un sport « à la mode ». J’ai essayé le karaté, le judo (pour une courte durée quand j’étais très jeune), la boxe anglaise, le grappling, le Jiu-jitsu brésilien et la lutte. J’aime toujours beaucoup la boxe anglaise, qui a été mon sport favori quand j’étais plus jeune. J’en fais d’ailleurs encore de temps en temps, juste pour le fun. Mais tout a commencé quand j’ai découvert le grappling².

Aujourd’hui, tes sports de combat principaux sont la lutte et le Jiu-jitsu brésilien. Pourrais-tu nous dire ce qui te fascine le plus dans ces deux sports ?

Ce qui me fascine le plus dans ces deux disciplines est leur style : le fait qu’on soit au sol, et qu’on doive utiliser des techniques sans donner ni recevoir de coups ! Les seules possibilités d’attaque et de défense sont les projections, les renversements, les passages de garde et les soumissions.

Quel rôle joue l’alimentation dans ta routine d’athlète ?

Mon alimentation joue un rôle très important – voire même plus important que mes entraînements ! Sans une bonne alimentation, je n’aurais pas de performances physiques assez satisfaisantes durant l’entraînement.

Quels sont les produits foodspring incontournables de ta routine alimentaire ?

Mes produits foodspring incontournables ? Je commencerais par l’Energy Aminos et les Recovery Aminos. Il y a bien sûr aussi les suppléments comme les BCAA, la L-glutamine, les Omega 3, Les Daily Vitamins, le Zn:Mg, la L-arginine et la Protéine 3K. Et quand je veux me faire plaisir, je dirais les Protein Bars et bien sûr… la fameuse Pâte à Tartiner.

Lorsque nous jetons un œil à ton Instagram, il nous semble que le sport fait partie intégrante de ta vie. Mais il y avait également un temps où tu ne pouvais plus remonter sur le ring…

Oui, le sport a vraiment une grande place dans ma vie ! C’est mon « lifestyle ». Je suis en accord avec moi-même à partir du moment où mes pieds se posent sur le tatami. Tout se déconnecte : le monde, ma vie privée, ma famille… Je suis moi-même, et ça m’aide énormément dans les moments les plus difficiles. Et puis un jour, j’ai eu une rupture des ligaments croisés sur les deux genoux, ainsi que le ménisque gauche – avec une greffe du ligament croisé sur la jambe gauche qui a eu une complication. Cette blessure m’a empêché de remonter sur le tatami pendant quatre ans.

Comment t’es-tu senti à ce moment-là ?

C’était une phase très difficile pour moi car en plus de la pratique sportive, le tatami m’apportait une grande sérénité.
C’était le seul moment dans ma vie privé où je pouvais « respirer ». Je me sentais vraiment très mal. Mais aujourd’hui heureusement, j’ai pu retrouver mon « lifestyle » et laisser le passé derrière moi…

As-tu essayé d’autres types de sport durant ces quatre dernières années ?

Non, malheureusement je ne pouvais rien faire d’autre que suivre une rééducation et aller à la salle de sport pour essayer de préserver un minimum la performance physique.

En tant que champion de Jiu-jitsu brésilien, tu dois probablement t’entraîner très dur. À quoi ressemble l’une de tes journées d’entraînement ?

Le matin : je commence par une préparation physique (cardio, renforcement musculaire, explosivité et force) puis un travail sur la stabilité pendant environ 1h30. Le soir, je pratique environ 2h de jiu-jitsu brésilien, avec une phase d’échauffement, puis d’entraînement (drill, technique, travail à thème) et pour finir quelques combats.

Pour préparer une compétition, as-tu un plan précis de préparation ?

Je dirais que je me concentre un peu plus sur la préparation physique et l’alimentation pour garder la forme et le mental.

D’après ton expérience personnelle, quel conseil d’entraînement donnerais-tu à nos lecteurs ?

Pour n’importe quel sport, commencez doucement mais sûrement. Travaillez dur, croyez en vous. N’essayez pas d’aller trop vite, au risque d’abandonner trop tôt. La patience est la clé ! No pain, no gain !

Suis Volkan via Instagram pour en connaître plus sur son histoire.

Le conseil de la rédaction : l’histoire de Volkan t’a inspiré à commencer un sport de combat, ou bien à te mettre au sport tout court ? Notre Body Check te permet de recevoir gratuitement les conseils de nos spécialistes. De quoi affronter le ring sans problème !

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Sources de l’article

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